Et si te faire accompagner était ton meilleur investissement ?
Changer de voie. Tourner une page. Oser créer quelque chose qui a du sens pour soi.
De plus en plus de personnes ressentent ce besoin profond : quitter un métier qui ne les nourrit plus pour inventer leur propre cadre, leur propre entreprise, leur propre rythme.
Mais si l’envie est là, le passage à l’acte, lui, est souvent semé de doutes.
Par où commencer ? Comment savoir si c’est le bon moment ? Suis-je vraiment légitime ? Vais-je tenir dans la durée ?
Créer son entreprise dans le cadre d’une reconversion, ce n’est pas seulement une question de business plan ou de statut juridique. C’est un cheminement intérieur, un vrai repositionnement personnel et professionnel.
Et dans ce processus parfois vertigineux, un accompagnement sur mesure fait toute la différence.
C’est là qu’intervient le coaching. Et c’est là qu’Anne Gobled, coach en reconversion professionnelle à Nantes, agit comme un accélérateur de clarté, une alliée stratégique pour celles et ceux qui veulent entreprendre en restant alignés avec qui ils sont.
1. Se lancer : plus qu’un projet, un engagement intérieur
Créer son entreprise dans un contexte de reconversion, ce n’est pas juste « changer de métier ».
C’est beaucoup plus intime que ça. C’est une transformation identitaire, un choix de vie.
Car derrière chaque projet entrepreneurial se cache une quête personnelle : celle de retrouver du sens, de l’alignement, de la liberté. On ne se lance pas juste pour gagner sa vie autrement. On se lance pour se sentir pleinement vivant, utile, à sa place.
Et c’est là que la première erreur peut survenir : vouloir construire un projet en partant de l’extérieur (les tendances, les besoins du marché, ce qu’on sait faire) sans jamais aller regarder ce qui nous anime vraiment à l’intérieur.
👉 Ce que fait un coach comme Anne Gobled, c’est justement ça : ramener au centre le Grand Why.
Pourquoi ce projet ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi toi ?
Quand ce « pourquoi » est clair, il devient une boussole. Il oriente chaque décision, il donne de la cohérence, il aide à tenir quand les premières difficultés surgissent.
« Une entreprise sans sens est un château de sable. Le premier doute, et tout s’effondre. »
En coaching, cette phase d’exploration est cruciale :
On met à jour les valeurs profondes,
On clarifie les motivations réelles,
On distingue l’envie passagère du véritable appel.
Et souvent, une question simple mais puissante suffit à déclencher une révélation :
Et si ton projet pro était le reflet de ta mission de vie ?
2. Le rôle du coach : architecte de clarté et catalyseur de passage à l’action
Il y a ce moment, après l’enthousiasme des débuts, où tout devient flou.
On doute, on tergiverse, on procrastine. L’idée d’entreprendre, si excitante au départ, se heurte à la réalité : les peurs, les croyances limitantes, la solitude.
Et c’est précisément là qu’un coach devient indispensable.
Un bon coach n’est pas là pour te dire quoi faire. Il fait mieux que ça :
Il t’aide à trouver tes propres réponses, celles qui viennent de ton histoire, de ta vision, de ta vérité.
Anne Gobled, dans sa posture de coach, agit comme un miroir exigeant et bienveillant.
Elle t’aide à poser les vraies questions :
Qu’est-ce que je veux vraiment ?
Qu’est-ce que je fuis ?
Qu’est-ce que je ne m’autorise pas encore ?
Elle t’invite à passer de l’idée au projet structuré, avec une posture d’entrepreneur solide, ancrée, assumée.
Mais surtout, elle crée un cadre sécurisé, une sorte de cocon dans lequel tu peux expérimenter, échouer, recommencer… sans te juger.
Ce cadre, c’est ce qui permet à la graine de l’idée de devenir une plante enracinée.
« Le coaching, ce n’est pas t’aider à grimper. C’est t’apprendre à ne pas redescendre. »
Un accompagnement personnalisé, c’est aussi :
Un regard extérieur lucide, qui voit ce que tu ne vois plus.
Une structure, des étapes claires pour avancer sans te disperser.
Un soutien émotionnel, car oui, créer, c’est vulnérable.
Et des feedbacks puissants, parfois inconfortables… mais toujours libérateurs.
Et si tu n’avais pas besoin d’un plan parfait, mais d’un mental solide et d’une boussole intérieure ?
3. Mentorat et écosystème : ne pas entreprendre seul
Beaucoup de porteurs de projet tombent dans un piège silencieux : celui de la solitude.
Ils s’imaginent qu’un vrai entrepreneur doit tout savoir, tout faire, tout porter… seul.
Mais entreprendre isolé, c’est comme naviguer en pleine mer sans boussole ni équipage : tôt ou tard, on dérive.
Un coach de carrière comme Anne Gobled ne se contente pas d’aider à poser les fondations. Elle agit aussi comme mentore, réseau, alliée, dans la durée.
Elle connaît les tempêtes du changement, les hauts et les bas du passage à l’action.
Elle sait quand il faut écouter, quand il faut challenger, quand il faut recadrer.
Elle sait surtout que la réussite durable passe par un environnement sain et stimulant.
« Un entrepreneur seul va plus vite. Accompagné, il va plus loin… et surtout, il dure. »
Car au-delà des compétences techniques, ce qui fait la différence, c’est l’entourage.
Un bon écosystème, ce sont :
Des regards extérieurs constructifs.
Des soutiens émotionnels en cas de doute.
Des modèles, des sources d’inspiration, des exemples concrets.
Des personnes qui te rappellent qui tu es, même quand tu l’oublies.
Et ça, un coach comme Anne sait le cultiver. Elle devient le point d’ancrage, celui qui te relie à toi-même, mais aussi aux autres, aux ressources, aux bonnes questions.
Qui sont les voix qui t’élèvent quand tout vacille ?
