Il y a des moments dans une carrière où l’on sent que quelque chose coince. On se lève le matin sans l’élan d’avant. Les journées s’enchaînent, les réunions aussi, et malgré les efforts, une petite voix intérieure murmure : « Est-ce vraiment ça, ma place ? »
Et puis, il y a ce vertige du changement. Comme si « bouger » signifiait forcément tout plaquer, prendre des risques insensés, ou se jeter dans l’inconnu. Alors on reste. On attend. On espère que les choses s’améliorent.
Mais parfois, la vie professionnelle ressemble à une cage dorée : confortable, mais limitante. C’est là que commence le vrai questionnement : et si au lieu de s’épuiser à rester en bas de l’escalier, on décidait de monter une marche ?
Changer, ce n’est pas fuir
Changer n’a rien à voir avec tout envoyer valser sur un coup de tête.
Changer, c’est s’autoriser à regarder plus haut. C’est prendre conscience qu’il existe d’autres manières de travailler, de contribuer, de s’épanouir.
Et si « se tirer » voulait dire :
sortir de ses schémas limitants,
oser explorer de nouvelles pistes,
ouvrir une porte intérieure qu’on n’avait jamais franchie ?
Monter, c’est se réinventer pas à pas
Quand j’accompagne des salariés en quête de sens, je vois souvent cette peur : « Et si je me trompais ? »
La bonne nouvelle, c’est que le changement ne se fait pas en une seule décision radicale. Monter vers le haut, c’est avancer marche après marche :
Prendre conscience : comprendre ce qui ne va plus aujourd’hui.
Clarifier : identifier ses besoins, ses valeurs, ses envies profondes.
Explorer : s’autoriser à regarder ce qui existe ailleurs.
Agir : poser des premiers pas concrets, sans pression.
Alors, on y va ?
« Viens, on se tire. Où ça ? Vers le haut. »
C’est une invitation. Une main tendue pour quitter l’inertie, pour cesser de subir, et choisir d’écrire une trajectoire professionnelle alignée, vivante et inspirante.
Le plus beau dans tout ça ? Tu n’es pas seul(e). L’accompagnement existe pour t’aider à transformer ton énergie, ton regard, et te donner la confiance de grimper à ton rythme.
Et si le haut, ce n’était pas un sommet inaccessible… mais simplement une version de toi plus libre, plus forte, plus en phase avec ce qui compte vraiment ?